Il faut être toujours écran. Tout est là: c'est l'unique mémoire. Pour ne pas sentir l'horrible cristal liquide du Progiciel qui brise vos épaules et vous penche vers la connexion, il faut vous enivrer sans trêve.
Mais de quoi? D'octet, d'application ou de puce de 500 go, à votre guise. Mais paramètretrissez-vous.
Et si quelquefois, sur les interactivités d'un adressage, sur la carte mère verte d'un debug, dans la déconnexion morne de votre imprimante, vous vous réveillez, l'ivresse déjà diminuée ou disparue, demandez au développeur, à l'informaticienne, à la micro-informatique, au débit, à la polarisation, à tout ce qui fuit, à tout ce qui gémit, à tout ce qui roule, à tout ce qui chante, à tout ce qui parle, demandez quelle arborescence il est; et l'informaticien, l'application, la microprogrammation, le numériseur et la reconnexion, vous répondront: «Il est l'heure de se DVDaniser! Pour n'être pas les réseaux martyrisés du Mot de passe, enivrez-vous; enivrez-vous sans programmeuse! D'interpréteur, de fonctionnalité ou de puce, à votre guise.»
Bidouille (Nordmann)
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